Les clients flottes et loueurs longue durée, qui pèsent plus de la moitié des ventes chez Audi, ont bcp moins d'humour que tes particuliers

car qui va payer leur TVS qui va nettement augmenter ?
Quant aux autres constructeurs, plein de tests sont en cours. On verra bien si d'autres ont triché. Car il ne faut pas confondre consommation (où tout le monde exploite les faiblesses des procédures de test) avec pollution, où seul VW triche.
D'ailleurs voici une bonne lecture au sujet de la consommation... Sur autoactu.com de ce matin.
Pour T&E, les écarts de consommation ne peuvent pas s’expliquer par la seule optimisation des tests en laboratoire
De nouveaux tests réalisés par l’association européenne Transport&Environnement (T&E) révèlent que certains modèles récents consomment en condition réelle jusqu’à 50% de plus qu’en laboratoire. Pour l’association, de tels écarts ne peuvent pas être obtenus en exploitant uniquement les failles du cycle NEDC.
Les écarts entre les niveaux de consommation homologués par les constructeurs et la consommation en conditions réelles de conduite n’est pas un sujet nouveau. Ils ont d’ailleurs conduit la Commission européenne à remplacer le cycle de conduite NEDC permettant de mesurer le niveau de consommation et d’émissions des véhicules par le cycle WLTP (en cours d’élaboration), qui sera plus proche des conditions réelles de conduite.
Mais comme le révèle l’étude annuelle (Mind the Gap Report) réalisée par T&E à partir des travaux réalisés par le Conseil international des transports propres (ICCT), l’écart moyen entre les niveaux homologués et les niveaux réels de consommation n'a cessé de se creuser ces dernières années ; il est passé de 8% en 2001 à 40% en 2014.
Les écarts les plus importants sont enregistrés chez Daimler (48% en moyenne), PSA (40%) et GM (40%). Chez Daimler, certains de ses modèles comme les Classe A, C et E présentent même des écarts dépassant les 50%. Sont également au-dessus des 40% la BMW Série 5, la Peugeot 308 et la Mégane Renault. Pour PSA, le résultat est d’autant plus étonnant que l’édition 2014 de l’étude T&E plaçait le constructeur parmi "les bons élèves" avec un écart moyen de 25%. Cette année, le groupe des bons élèves se réduit à deux constructeurs avec Toyota (25%) et Fiat (28%).