Ferrari SF71H
Ferrari SF71H
La suite du concept de l'an dernier, un poil plus agressif et moins large.
Re: Ferrari SF71H
C’est moche ces appendices aéro , d'ailleurs je croyais que c'était interdit dès cette saison , apparemment non .
Re: Ferrari SF71H
Oui elles sont de moins en moins belles ces F1.
Au niveau règlement, gros changement pour la durée de vie de plusieurs composants important non ?
Au niveau règlement, gros changement pour la durée de vie de plusieurs composants important non ?
Re: Ferrari SF71H
oui il me semble qu'au niveau du nombre de moteurs c'est réduit , idem pour les boites , après je ne sais plus .
Re: Ferrari SF71H
3 moteurs pour la saison...et 2 composants pour la saison (batterie je crois).
Re: Ferrari SF71H
Va falloir etre fiable !
Re: Ferrari SF71H
plus que les autres...n'empêche avec deux phares, elle peut faire Le Mans cette SF71H presque!
Re: Ferrari SF71H
Pris sur motorsport :
Après une saison 2017 aux deux visages, la Scuderia Ferrari entend avoir retenu la leçon. Donner du fil à retordre à Mercedes fut un premier pas, avec le retour d'un duel au sommet, mais la fin en eau de boudin est venue tout gâcher. Un nouveau chapitre s'ouvre, dans la continuité mais sans droit à l'erreur.
Une continuité que l'on a bien failli voir voler en éclats au terme de la tournée asiatique de l'automne dernier. Après les événements de Singapour puis les revers douloureux de Sepang et Suzuka, tout portait à croire que le coup de sang de Sergio Marchionne irait jusqu'à des décisions d'envergure faisant tomber quelques têtes. Il n'en fut rien, de manière presque surprenante !
Dans un environnement où la pression est omniprésente et permanente, l'unité ne s'est pas brisée à Maranello, tout du moins pas au grand jour. Le président de Ferrari n'est certes pas resté les bras croisés, instiguant du remaniement interne notamment sur le plan du contrôle qualité, et on peut tout de même penser que le couperet n'est pas passé loin de tomber. Pour autant, Maurizio Arrivabene est toujours à la tête de son équipe aujourd'hui, secondé par Mattia Binotto pour la partie technique, et disposant d'un duo de pilotes en qui la confiance a été renouvelée : Sebastian Vettel et Kimi Räikkönen.
Si le cadre n'a pas changé, Ferrari a tout de même eu le devoir de faire son travail d'introspection. Pour ces hommes à qui la mission confiée de ramener le Cheval cabré au sommet a été maintenue, il n'y a sans doute plus aucun droit à l'erreur. Pour y parvenir, un dogme de la saison passée a été conservé : celui d'une communication délibérément feutrée, d'une façade laissant le moins de place possible à l'émotion et aux sentiments, le tout pour conserver l'image d'une Scuderia la tête dans le guidon, dédiée tout entière à son travail de fourmi.
Dans la lignée de l'exercice précédent, les ateliers de Maranello n'ont probablement pas oublié en quelques mois la recette nécessaire à la conception d'une monoplace rapide. Sur ce point, et avec les précautions d'usage tout de même, le verdict des essais de Barcelone va dans ce sens. On peut clamer et répéter à qui veut l'entendre que la feuille des temps des essais hivernaux ne veut rien dire, il est toujours mieux d'y figurer en tête que dans les bas-fonds, ne serait-ce que pour le moral des troupes !
Sebastian Vettel, Ferrari SF71H
Inévitablement, la fiabilité a constitué un axe de progression figurant en haut de la liste pour Ferrari. L'équipe italienne ne peut pas se permettre de vivre un camouflet similaire à celui de la deuxième partie de saison 2018. Il est facile de pointer ce défaut du doigt, et il devrait l'être tout autant de l'avoir identifié pour le résoudre. Si tant est que la Scuderia ait fait ses devoirs sur ce plan, cela ne suffira cependant pas à vaincre Mercedes, et qui sait, peut-être Red Bull. L'an dernier, Ferrari a également subi la loi de son rival allemand dans la course au développement, menée avec des bottes de sept lieues par l'armada de Brackley.
Au rayon des leçons à retenir, Sebastian Vettel devra également prendre sa part. La polémique de Bakou et du coup de roue mis volontairement à Lewis Hamilton avait laissé des traces qu'il faudra gommer d'emblée, histoire de ne pas se faire resservir l'épisode au moindre faux-pas. Le quadruple Champion du monde a conscience d'avoir échoué dans sa quête, mais on sait également à quel point il peut se montrer redoutable lorsque l'alignement des planètes lui sourit. Les Tifosi n'attendent que ça !
À ses côtés, l'énigmatique Kimi Räikkönen reste fidèle au poste, avec des attentes qui sont, il faut l'avouer, difficile à évaluer. Au moins, l'entente entre les deux hommes est quasi parfaite, et il s'agit d'un facteur possiblement explosif dans d'autres équipes qui n'est pas à gérer dans la difficulté pour Ferrari.
Il n'y a guère de doute quant au fait que Ferrari a les moyens de venir perturber Mercedes dans la quête de la couronne mondiale. Encore une fois, la stabilité réglementaire écarte quasiment tout risque de bouleversement hiérarchique, et la Scuderia devrait donc être dans le coup. Reste tout de même à savoir jusqu'à quel point ? Le passé récent a montré que, du côté de Maranello, il y avait encore un cap à franchir pour se mettre exactement au niveau requis. Le sera-t-il dès cette saison ?
Après une saison 2017 aux deux visages, la Scuderia Ferrari entend avoir retenu la leçon. Donner du fil à retordre à Mercedes fut un premier pas, avec le retour d'un duel au sommet, mais la fin en eau de boudin est venue tout gâcher. Un nouveau chapitre s'ouvre, dans la continuité mais sans droit à l'erreur.
Une continuité que l'on a bien failli voir voler en éclats au terme de la tournée asiatique de l'automne dernier. Après les événements de Singapour puis les revers douloureux de Sepang et Suzuka, tout portait à croire que le coup de sang de Sergio Marchionne irait jusqu'à des décisions d'envergure faisant tomber quelques têtes. Il n'en fut rien, de manière presque surprenante !
Dans un environnement où la pression est omniprésente et permanente, l'unité ne s'est pas brisée à Maranello, tout du moins pas au grand jour. Le président de Ferrari n'est certes pas resté les bras croisés, instiguant du remaniement interne notamment sur le plan du contrôle qualité, et on peut tout de même penser que le couperet n'est pas passé loin de tomber. Pour autant, Maurizio Arrivabene est toujours à la tête de son équipe aujourd'hui, secondé par Mattia Binotto pour la partie technique, et disposant d'un duo de pilotes en qui la confiance a été renouvelée : Sebastian Vettel et Kimi Räikkönen.
Si le cadre n'a pas changé, Ferrari a tout de même eu le devoir de faire son travail d'introspection. Pour ces hommes à qui la mission confiée de ramener le Cheval cabré au sommet a été maintenue, il n'y a sans doute plus aucun droit à l'erreur. Pour y parvenir, un dogme de la saison passée a été conservé : celui d'une communication délibérément feutrée, d'une façade laissant le moins de place possible à l'émotion et aux sentiments, le tout pour conserver l'image d'une Scuderia la tête dans le guidon, dédiée tout entière à son travail de fourmi.
Dans la lignée de l'exercice précédent, les ateliers de Maranello n'ont probablement pas oublié en quelques mois la recette nécessaire à la conception d'une monoplace rapide. Sur ce point, et avec les précautions d'usage tout de même, le verdict des essais de Barcelone va dans ce sens. On peut clamer et répéter à qui veut l'entendre que la feuille des temps des essais hivernaux ne veut rien dire, il est toujours mieux d'y figurer en tête que dans les bas-fonds, ne serait-ce que pour le moral des troupes !
Sebastian Vettel, Ferrari SF71H
Inévitablement, la fiabilité a constitué un axe de progression figurant en haut de la liste pour Ferrari. L'équipe italienne ne peut pas se permettre de vivre un camouflet similaire à celui de la deuxième partie de saison 2018. Il est facile de pointer ce défaut du doigt, et il devrait l'être tout autant de l'avoir identifié pour le résoudre. Si tant est que la Scuderia ait fait ses devoirs sur ce plan, cela ne suffira cependant pas à vaincre Mercedes, et qui sait, peut-être Red Bull. L'an dernier, Ferrari a également subi la loi de son rival allemand dans la course au développement, menée avec des bottes de sept lieues par l'armada de Brackley.
Au rayon des leçons à retenir, Sebastian Vettel devra également prendre sa part. La polémique de Bakou et du coup de roue mis volontairement à Lewis Hamilton avait laissé des traces qu'il faudra gommer d'emblée, histoire de ne pas se faire resservir l'épisode au moindre faux-pas. Le quadruple Champion du monde a conscience d'avoir échoué dans sa quête, mais on sait également à quel point il peut se montrer redoutable lorsque l'alignement des planètes lui sourit. Les Tifosi n'attendent que ça !
À ses côtés, l'énigmatique Kimi Räikkönen reste fidèle au poste, avec des attentes qui sont, il faut l'avouer, difficile à évaluer. Au moins, l'entente entre les deux hommes est quasi parfaite, et il s'agit d'un facteur possiblement explosif dans d'autres équipes qui n'est pas à gérer dans la difficulté pour Ferrari.
Il n'y a guère de doute quant au fait que Ferrari a les moyens de venir perturber Mercedes dans la quête de la couronne mondiale. Encore une fois, la stabilité réglementaire écarte quasiment tout risque de bouleversement hiérarchique, et la Scuderia devrait donc être dans le coup. Reste tout de même à savoir jusqu'à quel point ? Le passé récent a montré que, du côté de Maranello, il y avait encore un cap à franchir pour se mettre exactement au niveau requis. Le sera-t-il dès cette saison ?
Re: Ferrari SF71H
Victoire ce matin.
Re: Ferrari SF71H
Cela commence plutôt bien avec une 2 Ferrari sur la podium.
Dommage pour Sauber-Alfa Romeo
Dommage pour Sauber-Alfa Romeo