Le retour au Mans de Ferrari
Re: Le retour au Mans de Ferrari
N'empêche les 17 premieres voitures en 8 tours. Je voyais pas ça quand je m'intéressais au Mans. Ça veut dire que la BoP marche maintenant...sinon Toyota et Ferrari seraient loin devant avec leur Hypercar.
Re: Le retour au Mans de Ferrari
Petit point sur les championnats :
Re: Le retour au Mans de Ferrari
Tard lundi dans la soirée, la sanction, très lourde, est tombée pour la Ferrari n°50. Quatrième des 24H du Mans 2025, dimanche, l’Hypercar italienne emmenée par Antonio Fuoco, Nicklas Nielsen et Miguel Molina a finalement été disqualifiée après décisions des commissaires pour infraction au règlement technique.
Ainsi, deux irrégularités ont été constatées lors du « scrutinering » d’après course. Celles-ci concernent l’aileron arrière. Selon un communiqué officiel, quatre vis étaient manquantes sur le support de l’aileron, en contradiction avec la fiche d’homologation du modèle.
Celui-ci indique en outre qu’un mécanicien a remarqué, lors du dernier arrêt à 15h23, qu’il manquait un boulon. Si l’écurie a attesté que cela n’avait pas apporté de gain de performance, les officiels ont eux relevé que la vitesse maximale la plus haute de cette voiture avait été mesurée du 380e au 387e tours. Soit en toute fin de course.
Ensuite, la deuxième irrégularité est une flexibilité trop importante de ce même aileron arrière. En effet, le maximum autorisé par le règlement LMH est de 15 mm. Tandis que sur la Ferrari n°50, la déformation a été mesurée 52 mm lors d’un test effectué après l’arrivée. Soit bien au-dessus.
Ainsi, se pose désormais la question de l’impact que peut éventuellement avoir au championnat un tel revirement de situation concernant la n°50. Côté constructeurs, certes, 30 unités en moins, ce n’est pas rien. Mais, avec 172 points au compteur, la firme de Maranello dispose malgré tout d’un matelas plus que confortable sur Toyota (2e, 95 pts), son dauphin, et Porsche (3e, 84 pts).
En revanche, le gros coup dur, après cet incident, est surtout pour le trio Fuoco-Molina-Nielsen. En effet, avec 24 unités en moins, l’équipage, toujours troisième au championnat Pilotes (57 points), voit les trios des Ferrari °83 et n°51 prendre le large. Ainsi, sur la troisième marche du podium aux 24H du Mans, le trio Giovinazzi-Pier Guidi-Calado compte 105 points, soit 16 unités de plus que l’équipage Kubica-Ye-Hanson vainqueur de la classique mancelle (89).
Ce n’est pas tout. En plus d’un retard de 32 points sur les deuxièmes, les trois pilotes de la n°50 voient certains de leurs adversaires se rapprocher fortement. En effet, Kamui Kobayashi, Nick de Vries et Mick Conway (Toyota GR n°7) ne disposent que de 13 unités de retard (44 pts). Tandis que le duo Kévin Estre-Laurens Vanthoor, sur la Porsche Penske n°6, et le trio Nato-Stevens-Lynn sur la Cadillac n°12, ne sont pas non plus très loin avec leurs 42 points. Une autre conséquence de cette disqualification est la présence dans les points de l’Aston Martin Valkyrie n°009 (Riberas-Sorensen-De Angelis). Le constructeur anglais inscrit ainsi ses deux premières unités de la saison.
Ainsi, si les équipages des Ferrari n°83 et n°51 disposent déjà d’un bel avantage, la troisième place de la n°50 promet d’être disputée dès São Paulo, mi-juillet. Deuxième dans la Sarthe, la Porsche n°6 semble avoir à nouveau les arguments pour lutter face à la Scuderia. Les Toyota et Cadillac auront elles aussi à coeur de briller lors des prochaines manches après un double tour d’horloge sarthois qui ne leur a pas souri. De quoi assister à nouveau à de belles prises d’armes en piste.
Ainsi, deux irrégularités ont été constatées lors du « scrutinering » d’après course. Celles-ci concernent l’aileron arrière. Selon un communiqué officiel, quatre vis étaient manquantes sur le support de l’aileron, en contradiction avec la fiche d’homologation du modèle.
Celui-ci indique en outre qu’un mécanicien a remarqué, lors du dernier arrêt à 15h23, qu’il manquait un boulon. Si l’écurie a attesté que cela n’avait pas apporté de gain de performance, les officiels ont eux relevé que la vitesse maximale la plus haute de cette voiture avait été mesurée du 380e au 387e tours. Soit en toute fin de course.
Ensuite, la deuxième irrégularité est une flexibilité trop importante de ce même aileron arrière. En effet, le maximum autorisé par le règlement LMH est de 15 mm. Tandis que sur la Ferrari n°50, la déformation a été mesurée 52 mm lors d’un test effectué après l’arrivée. Soit bien au-dessus.
Ainsi, se pose désormais la question de l’impact que peut éventuellement avoir au championnat un tel revirement de situation concernant la n°50. Côté constructeurs, certes, 30 unités en moins, ce n’est pas rien. Mais, avec 172 points au compteur, la firme de Maranello dispose malgré tout d’un matelas plus que confortable sur Toyota (2e, 95 pts), son dauphin, et Porsche (3e, 84 pts).
En revanche, le gros coup dur, après cet incident, est surtout pour le trio Fuoco-Molina-Nielsen. En effet, avec 24 unités en moins, l’équipage, toujours troisième au championnat Pilotes (57 points), voit les trios des Ferrari °83 et n°51 prendre le large. Ainsi, sur la troisième marche du podium aux 24H du Mans, le trio Giovinazzi-Pier Guidi-Calado compte 105 points, soit 16 unités de plus que l’équipage Kubica-Ye-Hanson vainqueur de la classique mancelle (89).
Ce n’est pas tout. En plus d’un retard de 32 points sur les deuxièmes, les trois pilotes de la n°50 voient certains de leurs adversaires se rapprocher fortement. En effet, Kamui Kobayashi, Nick de Vries et Mick Conway (Toyota GR n°7) ne disposent que de 13 unités de retard (44 pts). Tandis que le duo Kévin Estre-Laurens Vanthoor, sur la Porsche Penske n°6, et le trio Nato-Stevens-Lynn sur la Cadillac n°12, ne sont pas non plus très loin avec leurs 42 points. Une autre conséquence de cette disqualification est la présence dans les points de l’Aston Martin Valkyrie n°009 (Riberas-Sorensen-De Angelis). Le constructeur anglais inscrit ainsi ses deux premières unités de la saison.
Ainsi, si les équipages des Ferrari n°83 et n°51 disposent déjà d’un bel avantage, la troisième place de la n°50 promet d’être disputée dès São Paulo, mi-juillet. Deuxième dans la Sarthe, la Porsche n°6 semble avoir à nouveau les arguments pour lutter face à la Scuderia. Les Toyota et Cadillac auront elles aussi à coeur de briller lors des prochaines manches après un double tour d’horloge sarthois qui ne leur a pas souri. De quoi assister à nouveau à de belles prises d’armes en piste.
Re: Le retour au Mans de Ferrari
Font que des conneries, bref heureusement que c'est pas arrivé sur la gagnante
c'était peut être finalement ça les 364 kms/h
c'était peut être finalement ça les 364 kms/h

Re: Le retour au Mans de Ferrari
C'est clair que les 50 et 51, c'était beaucoup d'erreurs et d'agressivité. C'est un peu leur marque de fabrique depuis 3 ans. À croire qu'ils sont plus à la limite que l'équipe F1.