« Les voitures thermiques produisent bien plus de déchets que les véhicules électriques »
Re: « Les voitures thermiques produisent bien plus de déchets que les véhicules électriques »
Quel sera le bénéfice pour la planète quand les moteurs thermiques seront interdits dans 5 % de la surface planétaire ????
Re: « Les voitures thermiques produisent bien plus de déchets que les véhicules électriques »
Globalement je sais pas ou on va, mes les lois qui nous concerneront sont là.
L'idéal de toutes façons serait de moins se déplacer, ou de revoir la voiture électrique pour faire qqch que tu gardes 20 ans, tu changes une fois les batteries et le reste tu as un entretien très réduit (pas de soucis de rouille, de changement de pièces des trains roulant régulièrement, etc)
On a beau les faire électrique: même si on va dans le bon sens, si les gens les gardent 4-5 ans, puis encore pareille en occasion et qu'après 10 ans ca fini en prime a la casse : on a pas tout compris.
L'idéal de toutes façons serait de moins se déplacer, ou de revoir la voiture électrique pour faire qqch que tu gardes 20 ans, tu changes une fois les batteries et le reste tu as un entretien très réduit (pas de soucis de rouille, de changement de pièces des trains roulant régulièrement, etc)
On a beau les faire électrique: même si on va dans le bon sens, si les gens les gardent 4-5 ans, puis encore pareille en occasion et qu'après 10 ans ca fini en prime a la casse : on a pas tout compris.
Re: « Les voitures thermiques produisent bien plus de déchets que les véhicules électriques »
Ta vision n'est pas en adéquation avec le business
Re: « Les voitures thermiques produisent bien plus de déchets que les véhicules électriques »
Non mais la voiture électrique, c'est entre le green washing et revenir en 1950 : on imagine qu'on va garder tous nos acquis (droit de beaucoup voyager pour pas cher) et régler tous les problèmes de pollution car il ne sort plus de co2 des voitures. On va dans le bon sens, mais l'effort n'est pas suffisant, pour tout nos produits (automobiles et autres) il faut les garder plus longtemps si on veut vraiment faire qqch de bien.
Mais la je sors du débat Pour revenir dedans, on peut aussi calculer qu'une voiture électrique est plus écolo (énergie grise + fonctionnement) après tant de x milliers de km. Si la voiture n'attends pas ca (accident, très petit rouleur puis casse, etc) on ne fait pas de pas en avant.
Mais la je sors du débat Pour revenir dedans, on peut aussi calculer qu'une voiture électrique est plus écolo (énergie grise + fonctionnement) après tant de x milliers de km. Si la voiture n'attends pas ca (accident, très petit rouleur puis casse, etc) on ne fait pas de pas en avant.
Re: « Les voitures thermiques produisent bien plus de déchets que les véhicules électriques »
C’est une totale hérésie et un non sens
Le Canard Enchaîné, sous la plume de Jean-Luc Porquet, publie un article au vitriol sur l'absurdité des directions écologiques dans lesquelles s'est engagée la France.
En ligne de mire, la voiture électrique censée être la solution d'avenir pour sauver la planète en danger.
On ne cesse de nous rabâcher que la voiture électrique, c'est la solution d'avenir et surtout la seule voie pour sauver la planète.
À cette fin, la France s'est engouffrée tête baissée dans le tout électrique mais sans aucun discernement.
Partant, nos gouvernants ont enjoint les constructeurs automobiles de tout miser sur l'électrique. Soit !
Mais qu'est-ce que cela signifie ?
D'abord, l'installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes, car les véhicules les plus performants à l'heure actuelle, ne peuvent prétendre à une autonomie supérieure à 500 km.
Et encore sans faire usage des phares, du chauffage, des essuie-glaces, du dégivrage ou de la climatisation ...
Ensuite, cela implique la conception de batteries capables de stocker cette énergie.
Et là, il faut s'attarder un instant.
À l'heure actuelle, les batteries équipant les véhicules sont très lourdes, très coûteuses et bourrées de métaux rares.
Dans celle de la Tesla Model S par exemple, la plus performante du marché, on ne trouve pas moins de 16 kg de nickel.
Or le nickel est plutôt rare sur notre terre.
Ce qui fait dire au patron de Tesla France que « le goulet d'étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel »
Extraction du nickel à Goro en Nouvelle Calédonie.
Il sait parfaitement que le nickel est très difficile à trouver.
Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle Calédonie et son extraction est une vraie galère car on ne le trouve jamais à l'état pur.
Dans les minerais, il n'existe qu'en très faible proportion.
Par conséquent, il faut creuser et creuser encore, broyer, cribler, hyrocycloner pour un résultat tout juste à la hauteur des besoins.
Or tout cela entraîne de colossales montagnes de résidus que l'on déverse la plupart du temps dans la mer !
Mais qu'importe la biodiversité pour les KMERS VERTS qui ne jurent que par la « mobilité verte », laquelle n'a pas de prix pour eux.
Il n’y a pas que le nickel en jeu, il y a aussi le lithium.
Extraction du lithium en Bolivie.
Il en faut 15 kg par batterie (toujours pour la Tesla Model S). Celui-ci provient des hauts plateaux des Andes.
Pour l'extraire, on pompe sous les salars (lacs salés asséchés) ce qui entraîne une migration de l'eau douce vers les profondeurs.
Une catastrophe écologique selon les autochtones qui souffrent déjà du manque d'eau.
Et puis, il y a le cobalt : 10 kg par batterie qu'on va chercher au Congo.
Et là, on touche au travail des enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales
pour seulement 2 dollars par jour (Les Échos du 23/09/2020).
Ça gêne un peu aux entournures nos constructeurs qui, néanmoins, veulent à tout prix rattraper la Chine, déjà championne du monde dans ce secteur.
Alors, le travail des enfants, ça reste un détail.
Pour couronner le tout, les batteries étant terriblement lourdes (1/4 du poids de la Tesla Model S), il faut alléger au maximum le véhicule.
On fait donc des carrosseries en aluminium dont l'extraction génère ces terribles boues rouges,
déchets insolubles issus du traitement de l'alumine avec de la soude et qui sont composées de plusieurs métaux lourds tels que l'arsenic, le fer, le mercure, la silice et le titane, que l'on déverse aussi dans la mer au mépris des questions d'environnement, comme à GARDANNE dans les Bouches-du-Rhône.
Voilà ce qu'est le développement « durable » selon nos écologistes.
Un dogme qui ne laisse aucune place à la raison !
Le Canard Enchaîné, sous la plume de Jean-Luc Porquet, publie un article au vitriol sur l'absurdité des directions écologiques dans lesquelles s'est engagée la France.
En ligne de mire, la voiture électrique censée être la solution d'avenir pour sauver la planète en danger.
On ne cesse de nous rabâcher que la voiture électrique, c'est la solution d'avenir et surtout la seule voie pour sauver la planète.
À cette fin, la France s'est engouffrée tête baissée dans le tout électrique mais sans aucun discernement.
Partant, nos gouvernants ont enjoint les constructeurs automobiles de tout miser sur l'électrique. Soit !
Mais qu'est-ce que cela signifie ?
D'abord, l'installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes, car les véhicules les plus performants à l'heure actuelle, ne peuvent prétendre à une autonomie supérieure à 500 km.
Et encore sans faire usage des phares, du chauffage, des essuie-glaces, du dégivrage ou de la climatisation ...
Ensuite, cela implique la conception de batteries capables de stocker cette énergie.
Et là, il faut s'attarder un instant.
À l'heure actuelle, les batteries équipant les véhicules sont très lourdes, très coûteuses et bourrées de métaux rares.
Dans celle de la Tesla Model S par exemple, la plus performante du marché, on ne trouve pas moins de 16 kg de nickel.
Or le nickel est plutôt rare sur notre terre.
Ce qui fait dire au patron de Tesla France que « le goulet d'étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel »
Extraction du nickel à Goro en Nouvelle Calédonie.
Il sait parfaitement que le nickel est très difficile à trouver.
Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle Calédonie et son extraction est une vraie galère car on ne le trouve jamais à l'état pur.
Dans les minerais, il n'existe qu'en très faible proportion.
Par conséquent, il faut creuser et creuser encore, broyer, cribler, hyrocycloner pour un résultat tout juste à la hauteur des besoins.
Or tout cela entraîne de colossales montagnes de résidus que l'on déverse la plupart du temps dans la mer !
Mais qu'importe la biodiversité pour les KMERS VERTS qui ne jurent que par la « mobilité verte », laquelle n'a pas de prix pour eux.
Il n’y a pas que le nickel en jeu, il y a aussi le lithium.
Extraction du lithium en Bolivie.
Il en faut 15 kg par batterie (toujours pour la Tesla Model S). Celui-ci provient des hauts plateaux des Andes.
Pour l'extraire, on pompe sous les salars (lacs salés asséchés) ce qui entraîne une migration de l'eau douce vers les profondeurs.
Une catastrophe écologique selon les autochtones qui souffrent déjà du manque d'eau.
Et puis, il y a le cobalt : 10 kg par batterie qu'on va chercher au Congo.
Et là, on touche au travail des enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales
pour seulement 2 dollars par jour (Les Échos du 23/09/2020).
Ça gêne un peu aux entournures nos constructeurs qui, néanmoins, veulent à tout prix rattraper la Chine, déjà championne du monde dans ce secteur.
Alors, le travail des enfants, ça reste un détail.
Pour couronner le tout, les batteries étant terriblement lourdes (1/4 du poids de la Tesla Model S), il faut alléger au maximum le véhicule.
On fait donc des carrosseries en aluminium dont l'extraction génère ces terribles boues rouges,
déchets insolubles issus du traitement de l'alumine avec de la soude et qui sont composées de plusieurs métaux lourds tels que l'arsenic, le fer, le mercure, la silice et le titane, que l'on déverse aussi dans la mer au mépris des questions d'environnement, comme à GARDANNE dans les Bouches-du-Rhône.
Voilà ce qu'est le développement « durable » selon nos écologistes.
Un dogme qui ne laisse aucune place à la raison !
Re: « Les voitures thermiques produisent bien plus de déchets que les véhicules électriques »
C’est évident qu’on court encore plus vite à la catastrophe avec l’électrique...
Re: « Les voitures thermiques produisent bien plus de déchets que les véhicules électriques »
Moi ce que j'ai du mal à comprendre c'est la non réaction des constructeurs automobiles. En disant aux gouvernements que leur stratégie est complètement absurdes.
Re: « Les voitures thermiques produisent bien plus de déchets que les véhicules électriques »
c'est la dictature de l'Europe , gouvernée par une poignée de corrompus .
Re: « Les voitures thermiques produisent bien plus de déchets que les véhicules électriques »
Je dirais plutôt par une poignée d'ignorants
Re: « Les voitures thermiques produisent bien plus de déchets que les véhicules électriques »
...de corrompus ignorants alors !!!