SF-25
Re: SF-25
Mclaren seule team a pouvoir utiliser ses éléments aèro mobiles interdit depuis 13 ans pour les autres.
Merci la fia qui a joué le jeu.
Pour être certain que mclaren serait seul à pouvoir disposer d'un élément aèro mobile, ils ont annoncé tout l'hiver que ce serait interdit en 2025, Ferrari la naïve habituelle n'a donc pas développé un aileron flexible, et puis les ailerons flexibles étaient finalement autorisés, et mclraren était la seule à le savoir quand la fia racontait aux autres que ce serait interdit.
Donc voilà comment on se retrouve avec un top team autorisé à utiliser un aileron flexible et pas les autres top team
Merci la fia qui a joué le jeu.
Pour être certain que mclaren serait seul à pouvoir disposer d'un élément aèro mobile, ils ont annoncé tout l'hiver que ce serait interdit en 2025, Ferrari la naïve habituelle n'a donc pas développé un aileron flexible, et puis les ailerons flexibles étaient finalement autorisés, et mclraren était la seule à le savoir quand la fia racontait aux autres que ce serait interdit.
Donc voilà comment on se retrouve avec un top team autorisé à utiliser un aileron flexible et pas les autres top team
Re: SF-25
D'habitude je ne suis pas d'accord avec Ralph ou Herbert. Ces non champions du monde qui expliquent comment l'être et qui donnent des leçons.
Mais là, je rejoins Ralph. Lulu ne fait pas le boulot et se comporte comme durant les dernières années chez mercedes : à l'opposé du côté tolérant qu'il impose aux autres.
La voiture est exécrable, Leclerc est très conciliant et fort...
Ralf Schumacher a critiqué le comportement du septuple champion du monde Lewis Hamilton pendant et après le récent Grand Prix de Formule 1 de Miami.
Alors qu’il peine à s’adapter à Ferrari après des années chez Mercedes, le ton et les propos d’Hamilton à la radio dimanche dernier étaient particulièrement durs.
Il a accusé le muret des stands d’avoir fait une « pause thé » pour décider s’il devait le laisser dépasser Charles Leclerc, et a vivement critiqué son ingénieur Riccardo Adami pour lui avoir parlé dans une zone de freinage.
Et lorsqu’on a ordonné à Hamilton de s’écarter pour permettre à son coéquipier Leclerc de le dépasser à nouveau, et qu’on lui a annoncé que la voiture derrière était désormais celle de Carlos Sainz, le quadragénaire a lancé avec sarcasme : "Vous voulez que je le laisse passer aussi ?"
L’ancien pilote de F1 admet n’avoir pas été très impressionné.
"Bouhou Hamilton, c’était un peu trop," a déclaré l’Allemand, frère de Michael, le pilote Ferrari le plus titré de l’histoire.
"Dépasser Leclerc, c’est une chose : il était le plus rapide à ce moment. Mais ne pas lui rendre sa place sans se battre ?"
"Et après, je n’aurais pas agi de manière sarcastique. Il aurait plutôt dû simplement s’excuser. Avec son expérience et son âge, cela n’aurait vraiment pas dû arriver. Il aurait pu agir un peu plus intelligemment."
"Cela lui aurait mieux convenu," ajoute le consultant de Sky Allemagne.
Après tout le battage médiatique et l’enthousiasme suscités par le nouveau partenariat Hamilton-Ferrari en pré-saison, Schumacher estime que le Britannique gère mal la situation actuelle.
"Les gens chez Ferrari ont appris à connaître Hamilton en interne maintenant. Et un tel comportement met naturellement à rude épreuve les relations."
"Cela va perdurer, et il doit le reconnaître lui-même. Ses propos virulents à la radio, ses exigences, ne correspondent pas vraiment à ses performances actuelles. Peu importe le nombre de fois qu’il a été champion du monde."
"Il était plus proche de Leclerc à Miami, mais je pense qu’il devrait quand même adopter une approche plus sereine pour le moment."
Leclerc a également exprimé son inconfort face aux incidents avec Hamilton à Miami ainsi qu’au manque de performance général de la voiture, mais il a choisi des mots plus mesurés, tant à la radio qu’avec les médias.
"Leclerc était également très frustré à Miami," note Schumacher. "Je m’attends à une forte pression à Imola, en Italie. Ferrari y va également avec une mise à jour, et il faut que cela fonctionne."
"Le directeur de l’équipe, Fred Vasseur, est déjà sous forte pression."
Mais là, je rejoins Ralph. Lulu ne fait pas le boulot et se comporte comme durant les dernières années chez mercedes : à l'opposé du côté tolérant qu'il impose aux autres.
La voiture est exécrable, Leclerc est très conciliant et fort...
Ralf Schumacher a critiqué le comportement du septuple champion du monde Lewis Hamilton pendant et après le récent Grand Prix de Formule 1 de Miami.
Alors qu’il peine à s’adapter à Ferrari après des années chez Mercedes, le ton et les propos d’Hamilton à la radio dimanche dernier étaient particulièrement durs.
Il a accusé le muret des stands d’avoir fait une « pause thé » pour décider s’il devait le laisser dépasser Charles Leclerc, et a vivement critiqué son ingénieur Riccardo Adami pour lui avoir parlé dans une zone de freinage.
Et lorsqu’on a ordonné à Hamilton de s’écarter pour permettre à son coéquipier Leclerc de le dépasser à nouveau, et qu’on lui a annoncé que la voiture derrière était désormais celle de Carlos Sainz, le quadragénaire a lancé avec sarcasme : "Vous voulez que je le laisse passer aussi ?"
L’ancien pilote de F1 admet n’avoir pas été très impressionné.
"Bouhou Hamilton, c’était un peu trop," a déclaré l’Allemand, frère de Michael, le pilote Ferrari le plus titré de l’histoire.
"Dépasser Leclerc, c’est une chose : il était le plus rapide à ce moment. Mais ne pas lui rendre sa place sans se battre ?"
"Et après, je n’aurais pas agi de manière sarcastique. Il aurait plutôt dû simplement s’excuser. Avec son expérience et son âge, cela n’aurait vraiment pas dû arriver. Il aurait pu agir un peu plus intelligemment."
"Cela lui aurait mieux convenu," ajoute le consultant de Sky Allemagne.
Après tout le battage médiatique et l’enthousiasme suscités par le nouveau partenariat Hamilton-Ferrari en pré-saison, Schumacher estime que le Britannique gère mal la situation actuelle.
"Les gens chez Ferrari ont appris à connaître Hamilton en interne maintenant. Et un tel comportement met naturellement à rude épreuve les relations."
"Cela va perdurer, et il doit le reconnaître lui-même. Ses propos virulents à la radio, ses exigences, ne correspondent pas vraiment à ses performances actuelles. Peu importe le nombre de fois qu’il a été champion du monde."
"Il était plus proche de Leclerc à Miami, mais je pense qu’il devrait quand même adopter une approche plus sereine pour le moment."
Leclerc a également exprimé son inconfort face aux incidents avec Hamilton à Miami ainsi qu’au manque de performance général de la voiture, mais il a choisi des mots plus mesurés, tant à la radio qu’avec les médias.
"Leclerc était également très frustré à Miami," note Schumacher. "Je m’attends à une forte pression à Imola, en Italie. Ferrari y va également avec une mise à jour, et il faut que cela fonctionne."
"Le directeur de l’équipe, Fred Vasseur, est déjà sous forte pression."
Re: SF-25
Encore des pilotes anglais qui défendent hamilton.
Pour ma part, Lulu peut se plaindre de sa machine mais il est constamment derrière son coéquipier qui lui joue le jeu de l'équipe. Donc il n'a qu'à être le plus rapide. Tous ses fanboys nous ont expliquaient toute la dernière décennie qu'il était le meilleur, le goat (chèvre en anglais) etc... Finalement il n'est rien de plus qu'un des 20 meilleurs pilotes au monde en ce moment.
"Je pense que l'aventure va pas durer longtemps...il n'a qu'à dire que sa voiture se comporte comme un camion
Les propos sarcastiques de Lewis Hamilton à la radio de l’équipe mettent en lumière un problème majeur chez Ferrari, selon l’ancien pilote de F1 Martin Brundle, consultant permanent de Sky en Angleterre.
Il a fallu plusieurs tours à Ferrari pour délibérer sur l’application des consignes d’équipe, malgré les pressions d’Hamilton.
Une fois les consignes appliquées, il était trop tard, le pilote ayant épuisé le maximum de ses pneus médiums pour tenter de passer Kimi Antonelli.
"À première vue, cela semblait aller de soi, car Lewis a rattrapé Leclerc et les F1 devant lui comme une fusée avec ces pneus. Ce qui était déroutant, c’est que dès qu’une Ferrari entrait dans la plage du DRS de l’autre, elle semblait être la plus rapide."
"Avec le recul, c’est merveilleux, mais lorsque Lewis est passé devant, il n’a pas creusé l’écart. En fait, Charles a commencé à le rattraper…"
Pour Brundle ce scénario illustre l’hésitation sur le muret des stands de Ferrari, ce qui a conduit Hamilton à se laisser submerger par ses émotions à la radio de l’équipe.
"Lorsqu’il y a des appels radio, Ferrari semble toujours trop hésiter – ils font ça depuis longtemps."
"Certaines des déclarations de Lewis à la radio sont assez sarcastiques, comme il l’a dit. On ne peut pas les renier, et je pense que c’est assez révélateur, ce genre de frustration. C’est un peu injuste de diffuser certains messages radio à la télévision, d’une certaine manière, mais c’est tellement important de voir les pilotes sont comme ils le sont dans la voiture, parce qu’on les voit à peine."
"Ces appels radio nous permettent de comprendre ce qui se passe dans le cockpit."
"Je trouve que c’est assez révélateur, ce sarcasme et cette colère de Lewis. Il aura été vraiment frustré lors de cette course, 23 tours derrière Ocon au volant d’une Ferrari cliente [moteur] avec 300 personnes à l’usine à peine…"
"Essayer de dépasser la Haas d’Ocon, ce n’est pas ce que Lewis attendait cette année. J’imagine donc que son humeur n’était pas au beau fixe."
Malgré les critiques de Ferrari et Hamilton après la course, après avoir terminé huitième derrière son coéquipier, Brundle a maintenu que le vainqueur de 105 Grands Prix ne pouvait pas « revenir sur ses propos ».
"Il a mis le doigt sur un week-end décevant en Floride lorsqu’il a demandé s’il devait également laisser passer Carlos Sainz. Une remarque pénible à entendre."
"Ferrari a resserré les rangs à la fin de la course, pour calmer le jeu. Mais comme je l’ai dit, certaines des choses que Lewis a dites sont indéniables."
Pour Jenson Button, un autre ancien pilote de F1 consultant, le ton a clairement changé entre le début de saison et la fin de la course à Miami.
"Lewis a un caractère différent aujourd’hui de celui qu’il avait au début de l’année. Et je ne parle même pas de lorsque nous étions coéquipiers."
"S’il était démoralisé, le lendemain, il était de nouveau au front et super rapide."
"Maintenant, il a une personnalité beaucoup plus calme, beaucoup plus équilibrée."
"Si un état d’esprit plus calme et plus détendu pourrait être bénéfique pour un autre pilote, c’est en réalité devenu préjudiciable pour lui."
"Je pense que cela commence à lui faire un peu mal d’être constamment plus lent que Charles. Lewis n’est pas fait pour ça. C’est un gagnant.""
Pour ma part, Lulu peut se plaindre de sa machine mais il est constamment derrière son coéquipier qui lui joue le jeu de l'équipe. Donc il n'a qu'à être le plus rapide. Tous ses fanboys nous ont expliquaient toute la dernière décennie qu'il était le meilleur, le goat (chèvre en anglais) etc... Finalement il n'est rien de plus qu'un des 20 meilleurs pilotes au monde en ce moment.
"Je pense que l'aventure va pas durer longtemps...il n'a qu'à dire que sa voiture se comporte comme un camion
Les propos sarcastiques de Lewis Hamilton à la radio de l’équipe mettent en lumière un problème majeur chez Ferrari, selon l’ancien pilote de F1 Martin Brundle, consultant permanent de Sky en Angleterre.
Il a fallu plusieurs tours à Ferrari pour délibérer sur l’application des consignes d’équipe, malgré les pressions d’Hamilton.
Une fois les consignes appliquées, il était trop tard, le pilote ayant épuisé le maximum de ses pneus médiums pour tenter de passer Kimi Antonelli.
"À première vue, cela semblait aller de soi, car Lewis a rattrapé Leclerc et les F1 devant lui comme une fusée avec ces pneus. Ce qui était déroutant, c’est que dès qu’une Ferrari entrait dans la plage du DRS de l’autre, elle semblait être la plus rapide."
"Avec le recul, c’est merveilleux, mais lorsque Lewis est passé devant, il n’a pas creusé l’écart. En fait, Charles a commencé à le rattraper…"
Pour Brundle ce scénario illustre l’hésitation sur le muret des stands de Ferrari, ce qui a conduit Hamilton à se laisser submerger par ses émotions à la radio de l’équipe.
"Lorsqu’il y a des appels radio, Ferrari semble toujours trop hésiter – ils font ça depuis longtemps."
"Certaines des déclarations de Lewis à la radio sont assez sarcastiques, comme il l’a dit. On ne peut pas les renier, et je pense que c’est assez révélateur, ce genre de frustration. C’est un peu injuste de diffuser certains messages radio à la télévision, d’une certaine manière, mais c’est tellement important de voir les pilotes sont comme ils le sont dans la voiture, parce qu’on les voit à peine."
"Ces appels radio nous permettent de comprendre ce qui se passe dans le cockpit."
"Je trouve que c’est assez révélateur, ce sarcasme et cette colère de Lewis. Il aura été vraiment frustré lors de cette course, 23 tours derrière Ocon au volant d’une Ferrari cliente [moteur] avec 300 personnes à l’usine à peine…"
"Essayer de dépasser la Haas d’Ocon, ce n’est pas ce que Lewis attendait cette année. J’imagine donc que son humeur n’était pas au beau fixe."
Malgré les critiques de Ferrari et Hamilton après la course, après avoir terminé huitième derrière son coéquipier, Brundle a maintenu que le vainqueur de 105 Grands Prix ne pouvait pas « revenir sur ses propos ».
"Il a mis le doigt sur un week-end décevant en Floride lorsqu’il a demandé s’il devait également laisser passer Carlos Sainz. Une remarque pénible à entendre."
"Ferrari a resserré les rangs à la fin de la course, pour calmer le jeu. Mais comme je l’ai dit, certaines des choses que Lewis a dites sont indéniables."
Pour Jenson Button, un autre ancien pilote de F1 consultant, le ton a clairement changé entre le début de saison et la fin de la course à Miami.
"Lewis a un caractère différent aujourd’hui de celui qu’il avait au début de l’année. Et je ne parle même pas de lorsque nous étions coéquipiers."
"S’il était démoralisé, le lendemain, il était de nouveau au front et super rapide."
"Maintenant, il a une personnalité beaucoup plus calme, beaucoup plus équilibrée."
"Si un état d’esprit plus calme et plus détendu pourrait être bénéfique pour un autre pilote, c’est en réalité devenu préjudiciable pour lui."
"Je pense que cela commence à lui faire un peu mal d’être constamment plus lent que Charles. Lewis n’est pas fait pour ça. C’est un gagnant.""