Le retour au Mans de Ferrari
Re: Le retour au Mans de Ferrari
Bon après niveau marketing peut mieux faire...la 51 gagne pour les 50 ans depuis la dernière apparition et la 50 pour la 51....
Re: Le retour au Mans de Ferrari
Victorieuse aux 24 Heures du Mans le mois dernier, la Ferrari 499P évolue, comme l'avait annoncé le constructeur italien. Avant la cinquième manche du FIA WEC ce week-end à Interlagos, la Scuderia a dévoilé les changements apportés à sa machine, les premières visant à améliorer ses performances depuis son entrée en compétition l'an passé.
Ferrari a décidé de redessiner les conduits de freins, dans le but d'améliorer l'efficacité du refroidissement, et a également apporté des modifications mineures sur le plan aérodynamique. Dans les faits, le Cheval cabré ne s'attend pas à voir une incidence sur les chronos en rythme pur, la finalité étant d'améliorer la polyvalence de son Hypercar pour "une adaptation plus facile de la voiture à des circuits où les performances au freinage sont plus exigeantes et décisives", selon les explications de Ferdinando Cannizzo.
"Malgré les excellentes performances de la voiture lors de la saison 2023, nous avons fait face à des facteurs limitants au niveau du refroidissement des freins", ajoute le patron de l'Endurance à Maranello. "Nous avons donc défini et développé un nouveau design de refroidissement en soufflerie et en piste pour modifier la distribution du flux d'air et disposer d'une plus grande efficacité."
"La modification a eu une incidence sur l'équilibre de la 499P, que nous avons ramené à la valeur souhaitée en ajustant d'autres zones de la voiture. Plus spécifiquement, nous avons modifié le soubassement de carrosserie, ajusté la hauteur de certains flaps gurney et introduit un appendice sous les phares à l'avant. L'évolution nous a permis de maintenir la 499P dans la fenêtre de performance spécifiée par le Règlement Technique."
Durant le cycle de vie d'une LMH ou d'un prototype LMDh, chaque constructeur peut utiliser jusqu'à cinq jokers d'évolution et Ferrari avait indiqué après sa victoire au Mans que son Hypercar allait prochainement bénéficier de nouveautés. La Ferrari privée de l'équipe AF Corse est également concernée, l'homologation étant uniforme pour chaque modèle.
Dans la Sarthe, c'est la n°50 d'Antonio Fuoco, Nicklas Nielsen et Miguel Molina qui s'est imposée, permettant au trio de revenir à neuf points seulement de l'équipage Porsche formé par André Lotterer, Kévin Estre et Laurens Vanthoor.
Les 6 Heures de São Paulo auront lieu ce week-end pour le grand retour du WEC au Brésil, une première depuis 2014. Pour cette manche, la BoP a évolué et les Ferrari 499P devront notamment composer avec 17 kg supplémentaire
Ferrari a décidé de redessiner les conduits de freins, dans le but d'améliorer l'efficacité du refroidissement, et a également apporté des modifications mineures sur le plan aérodynamique. Dans les faits, le Cheval cabré ne s'attend pas à voir une incidence sur les chronos en rythme pur, la finalité étant d'améliorer la polyvalence de son Hypercar pour "une adaptation plus facile de la voiture à des circuits où les performances au freinage sont plus exigeantes et décisives", selon les explications de Ferdinando Cannizzo.
"Malgré les excellentes performances de la voiture lors de la saison 2023, nous avons fait face à des facteurs limitants au niveau du refroidissement des freins", ajoute le patron de l'Endurance à Maranello. "Nous avons donc défini et développé un nouveau design de refroidissement en soufflerie et en piste pour modifier la distribution du flux d'air et disposer d'une plus grande efficacité."
"La modification a eu une incidence sur l'équilibre de la 499P, que nous avons ramené à la valeur souhaitée en ajustant d'autres zones de la voiture. Plus spécifiquement, nous avons modifié le soubassement de carrosserie, ajusté la hauteur de certains flaps gurney et introduit un appendice sous les phares à l'avant. L'évolution nous a permis de maintenir la 499P dans la fenêtre de performance spécifiée par le Règlement Technique."
Durant le cycle de vie d'une LMH ou d'un prototype LMDh, chaque constructeur peut utiliser jusqu'à cinq jokers d'évolution et Ferrari avait indiqué après sa victoire au Mans que son Hypercar allait prochainement bénéficier de nouveautés. La Ferrari privée de l'équipe AF Corse est également concernée, l'homologation étant uniforme pour chaque modèle.
Dans la Sarthe, c'est la n°50 d'Antonio Fuoco, Nicklas Nielsen et Miguel Molina qui s'est imposée, permettant au trio de revenir à neuf points seulement de l'équipage Porsche formé par André Lotterer, Kévin Estre et Laurens Vanthoor.
Les 6 Heures de São Paulo auront lieu ce week-end pour le grand retour du WEC au Brésil, une première depuis 2014. Pour cette manche, la BoP a évolué et les Ferrari 499P devront notamment composer avec 17 kg supplémentaire
Re: Le retour au Mans de Ferrari
Pas de très bon résultat au Brésil...
Re: Le retour au Mans de Ferrari
la Ferrari 499P LMH officielle au numéro 51, pilotée par Antonio Giovinazzi, a signé la pole position lors de l'Hyperpole avec un tour du Circuit des Amériques en 1'50"390, devançant la Ferrari cliente d'AF Corse, aux mains de Robert Kubica
Re: Le retour au Mans de Ferrari
Victoire pour la Ferrari n°83 d’AF Corse !
Re: Le retour au Mans de Ferrari
Beau ca
Re: Le retour au Mans de Ferrari
Une semaine après audience à Genève par la Cour d'appel internationale de la FIA, la décision concernant le résultat des 6 Heures de Spa-Francorchamps a été rendue mardi soir. La victoire de la Porsche Jota n°12 à l'issue de la troisième manche du WEC, disputée en mai dernier, a été confirmée puisque le recours déposé par Ferrari a été rejeté.
La cour a soutenu la décision prise le jour de la course par les commissaires, à savoir de relancer l'épreuve après une longue interruption en ayant stoppé le chronomètre. Ce choix avait été remis en cause par la Scuderia, qui se référait à la limite d'une heure figurant dans le Code Sportif International de la FIA.
L'objet de l'appel soumis par Ferrari tournait principalement autour d'un point de règlement du WEC précisant que les commissaires ont la possibilité "de stopper et/ou modifier le temps de course programmé" tout en spécifiant que "cette durée ne peut excéder celle de la compétition".
Cet article ambigu pouvait être interprété de différentes manières et les commissaires ont estimé qu'il était question de la durée de la course et non de celle de la fenêtre horaire dans laquelle elle devait se dérouler. En faisant appel, Ferrari avait indiqué vouloir essentiellement clarifier cette règle en raison du flou qu'elle avait créé, afin de savoir à quoi s'attendre si la situation venait à se reproduire.
Or le très long rapport rendu par la Cour d'appel statue essentiellement sur la forme et non sur le fond, puisqu'il indique que les commissaires ont autorité et que la réclamation de Ferrari ne vise pas un concurrent ni ne rentre dans les quelques cas spécifiques qui auraient pu mener à une remise en cause des résultats.
En Belgique, la course avait été interrompue par un drapeau rouge après un accident nécessitant de longues réparations. Les commissaires avaient ensuite relancé l'épreuve pour qu'elle se termine au-delà de l'horaire initial, soit 1h44 après l'heure d'arrivée prévue, tout en préservant le temps de course qui n'avait pas été effectué durant le drapeau rouge.
Lors de cette interruption, les deux Ferrari 499P étaient en tête de l'épreuve. Elles ont ensuite terminé troisième et quatrième, et c'est la Porsche Jota n°12 qui s'est imposée, dans une fin de course inévitablement chamboulée sur le plan stratégique.
La cour a soutenu la décision prise le jour de la course par les commissaires, à savoir de relancer l'épreuve après une longue interruption en ayant stoppé le chronomètre. Ce choix avait été remis en cause par la Scuderia, qui se référait à la limite d'une heure figurant dans le Code Sportif International de la FIA.
L'objet de l'appel soumis par Ferrari tournait principalement autour d'un point de règlement du WEC précisant que les commissaires ont la possibilité "de stopper et/ou modifier le temps de course programmé" tout en spécifiant que "cette durée ne peut excéder celle de la compétition".
Cet article ambigu pouvait être interprété de différentes manières et les commissaires ont estimé qu'il était question de la durée de la course et non de celle de la fenêtre horaire dans laquelle elle devait se dérouler. En faisant appel, Ferrari avait indiqué vouloir essentiellement clarifier cette règle en raison du flou qu'elle avait créé, afin de savoir à quoi s'attendre si la situation venait à se reproduire.
Or le très long rapport rendu par la Cour d'appel statue essentiellement sur la forme et non sur le fond, puisqu'il indique que les commissaires ont autorité et que la réclamation de Ferrari ne vise pas un concurrent ni ne rentre dans les quelques cas spécifiques qui auraient pu mener à une remise en cause des résultats.
En Belgique, la course avait été interrompue par un drapeau rouge après un accident nécessitant de longues réparations. Les commissaires avaient ensuite relancé l'épreuve pour qu'elle se termine au-delà de l'horaire initial, soit 1h44 après l'heure d'arrivée prévue, tout en préservant le temps de course qui n'avait pas été effectué durant le drapeau rouge.
Lors de cette interruption, les deux Ferrari 499P étaient en tête de l'épreuve. Elles ont ensuite terminé troisième et quatrième, et c'est la Porsche Jota n°12 qui s'est imposée, dans une fin de course inévitablement chamboulée sur le plan stratégique.
Re: Le retour au Mans de Ferrari
À Fuji, comme chaque année, on se prend une branlée... La 499P est vraiment taillée pour Le Mans.